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La Branche à Fruits

L’exploitation

Une ferme conduite en agriculture biologique

Le verger est conduit en AB depuis 2018. Cela implique évidemment de ne pas utiliser de produits de synthèse mais également de tendre vers une diminution des traitements de manière générale. Des mesures prophylactiques sont donc adoptées pour répondre à cet objectif.

Observer avec vigilance l’état du verger est une de nos prérogatives afin de régler les problèmes avant qu’ils n’arrivent !

L’équipe

A votre service !

Notre équipe polyvalente est composée de 3 personnes.
Nous accueillons également des saisonniers et régulièrement des stagiaires.

Sonia

pomme d’happy

Sonia est partout, à la station, au verger, au bureau et sera également ravie de vous accueillir à la boutique !

Christophe

fendeur de poire

Christophe est partout, au verger, à la station et en livraison, il a l’œil sur tout et n’est jamais bien loin !

Guillaume

toucheur de bois

Guillaume ne peut pas être partout… mais un peu trop au bureau !

Le Verger

Un verger sur le haut des coteaux du Val de l’Indre

La situation du verger sur le haut des coteaux du Val de l’Indre lui fait bénéficier des caractéristiques du bournais franc, sol limono-argileux. Ce terroir confère aux fruits des qualités gustatives indéniables.

Le verger s’étend sur 14 hectares d’un seul tenant. 8 hectares sont plantés d’arbres fruitiers comprenant 2 hectares de pommiers et 6 de poiriers. Un rang de cerisiers, un rang de pruniers et un demi hectare de rhubarbe complètent la production.

L’éco-pâturage

Des moutons pour entretenir le verger

Le verger est enherbé sur sa totalité afin de préserver au maximum la vie du sol, même si cela conduit à une diminution des rendements. L’enherbement est géré par le pâturage d’un troupeau de moutons Shropshire, race écossaise réputée pour ne pas manger l’écorce des arbres.

Pour l’instant, avant les chantiers d’éclaircissage et de récolte, 2 passages de girobroyeur restent nécessaires en attendant que le cheptel grossisse pour atteindre une quarantaine de moutons. Le mouton a également les intérêts de fertiliser le sol et de gêner les campagnols. Le mouton, c’est tout bon !

La Biodiversité

Des ruches et des oies

Nous réfléchissons également à apporter une nouvelle espèce au verger, sans doute des oies, afin de développer la biodiversité et d’amener un travail du sol différent de celui des moutons.

Une dizaine de ruches sont présentes sur le verger afin d’aider à la pollinisation.

Toujours dans le souci de développer la biodiversité, une haie entomofaune a été implantée tout autour du verger. Cette haie a donc pour but de le protéger en abritant les auxiliaires qui lui sont utiles.